mercredi, novembre 07, 2012

Le grand soir...


A la fin de ce film, je me suis dit : "de celui-là, il va falloir que j'en parle !".

J'avais déjà lu les mauvaises critiques, je m'attendais à voir un film mauvais, lourd, long et ennuyeux et au final, je vous avoue que je ne sais pas si j'ai vu un film excellentissime ou si  j'ai vu du n'importe quoi.

Au moment où j'écris cet article, j'ai une autre fenêtre ouverte sur mon navigateur. Cette fenêtre est ouverte sur un site où je vais noter les films que j'ai vu. A la place de la note, il y a pour l'instant un 7, mais j'ai envie de mettre un 3 ou peut-être un 5, je ne sais pas... je me dis que d'ici la fin de cet article, une fois que je vous aurais tout raconté (et donc... il y  aura des spoilers) je saurais. Alors c'est parti !

Le grand soir c'est l'histoire de deux frères. L'un est un Punk (Benoît Poelvorde), l'autre un type (Albert Dupontel) qui tente vainement de vendre des matelas et qui voit la société de consommation comme une grande famille. Comme il le dit en parlant de la zone commerciale dans laquelle il travaille : "c'est ici qu'il y a de la vie". Et on va suivre pendant 1h30 la chute libre de cet homme. Ce n'est pas vraiment une chute, c'est plutôt un changement de situation, une autre façon de percevoir le monde qui nous entoure.

Là où ce film est génial, c'est que sous des airs de comédie (certes très dramatique) il nous met une petite claque derrière les oreilles en pointant le doigt là où ça fait mal. Lorsque Dupontel tente de s'immoler au milieu du centre commercial et qu'il n'est arrêté que par le système incendie, on sourit et on réalise ensuite que non, ce n'est pas drôle. Et le film est souvent comme ça, il y a pleins de petites pointes poétiques semée de ci, de là. Malgré tout, on a jamais l'impression que c'est un coup de génie, non, on a l'impression que tout est dû au hasard et que ce n'est pas voulu. Je me suis souvent demandé vers quoi ce film m'amenait et je me suis parfois ennuyée, mais j'ai le sentiment que c'était voulu et du coup, si c'est voulu, ce film est réussi non ? Mais quand est-il de mon ennui ? Si on s'ennuie, ce n'est pas bon signe non ?

Et puis il y a Poelvorde qui, selon moi, livre une prestation exceptionnelle ! Certaines scènes ont l'air de documentaire tellement il sonne juste. Dupontel lui est plus... Dupontel. Sa démarche raide spécifique et les expressions sévères qu'on lui connaît nous font penser à d'autres rôles déjà vu, il est donc plus difficile pour moi d'oublier ce qu'il a fait avant.
Alors que les deux acteurs principaux s'en sorte avec mention, je ne sais pas quoi dire du reste du casting. Les parents sont tellement décalés qu'on ne sait pas si c'est dû à leur talent d'acteur (quoi que Brigitte Fontaine, reste Brigitte Fontaine) ou si ils ne savent pas du tout ce qu'il font. Encore un fois ? Etait-ce voulu ou non ?

Et pour finir, le point sur lequel je ne discuterais pas. La photographie. J'ai adoré la photographie de ce film. Lors de longue scène ou on voit Poelvorde marcher, ou celle ou Dupontel conduit le petit véhicule industriel on a l'impression de voir une photo en mouvement. On a le temps de regarder ce qui se passe, d'admirer le cadrage. En tout point, j'ai aimé.


Et donc... si je me relis, j'ai aimé le pitch, j'ai aimé les acteurs, j'ai aimé la photographie et pourtant... j'ai envie de lui mettre un 3, parce que j'ai quand même l'impression d'avoir regarder du n'importe quoi... J'ai l'impression d'avoir fais tout le travail et que c'est moi qui ai imaginé ce qu'il voulait dire, que c'est moi qui ai vu de la poésie. Alors est-ce que c'est moi qui imagine que c'est un bon film ?

samedi, novembre 03, 2012

Le pain Cot cot...

Il y a quelques semaines, je me posais la question que toute cuisinière qui aimerait avoir des journées de 48h00 se pose un jour : "machine à pain ou pas machine à pain ?".

J'ai eu plein, plein de chouettes infos pour pouvoir prendre la bonne décision (merci à ceux qui ont pris la peine de me répondre sur mon mur Facebook). Et bien, malgré ça, je ne sais toujours pas ! Enfin, si, un peu quand même. La cuve en Teflon qui s’abîme avec le temps me rebute un peu.

Donc, avant de prendre une décision définitive, je me suis dit qu'il fallait que je fasse l'effort de faire du pain plus souvent pour me rendre compte de la charge de travail que cela implique. Lors de la visite d'Armalite et Monsieur Tout le monde, j'avais testé la cuisson du pain dans une cocotte. Ce mode de cuisson fait une croûte bien croustillante, mais fine. Et pour une raison que je ne m'explique pas, ce pain, se conserve plus longtemps que celui cuit au four. C'est donc la technique qui me plaît le plus.

Maintenant, la recette...

Depuis 3 semaines, je fais du pain cocotte en veux tu en voilà, j'ai donc eu envie de partager avec vous ma dernière recette, le pain cocotte à la châtaigne.

La recette de base se trouve sur Marmiton : Pain de campagne.



400g de farine blanche
100g de farine de châtaigne
300g d'eau
1 sachet de levure sèche
12g de sel

On commence par mélanger les farines avec l'eau et une fois que le mélange est homogène, on laisse reposer 30 minutes.

Ensuite on intègre au mélange la levure et lorsque la levure est bien répartie dans la pâte, le sel. On travaille longtemps pour avoir une belle pâte bien lisse et bien jolie.

On laisse reposer 45 minutes à température ambiante, puis 12 heures au frigo. Je vous avoue que parfois je n'ai pas le temps d'attendre 12heures et qu'elle reste au frigo 6h00 ou même moins...

On reprends ensuite sa pâte qu'on retravaille. Puis on forme son pain. Il suffit ensuite de tapisser la cocotte de papier sulfurisé, d'installer le pain dans ce petit nid, de le saupoudrer d'un peu de farine et de le laisser reposer 1 heure à température ambiante dans un endroit chaud ou dans le four à 30°C.

Après une heure on place la cocotte dans le four froid et on le fait cuire 50 minutes à 220°C.


Dès qu'il est prêt on le sort tout de suite de la cocotte pour le placer sur une grille et on l'écoute chanter... (Mais oui, le pain cocotte ça chante !)


Mr Pops l'aime beaucoup pour ces tartines au miel et moi, je le préfère avec un bon morceau de vieux gruyère.


Si certaines ou certains d'entre vous on une machine à pain et aimeraient tenter la recette, pensez à moi et envoyez moi une photo (dedans/dehors) pour que je puisse comparer avec celui-ci ;)

lundi, octobre 29, 2012

Une question de goût...






Ce n'est un secret pour personne, je suis une grande gourmande. Malheureusement, depuis le mois de juin, ma gourmandise a mal à l'âme. Petit récapitulatif des faits pour que vous puissiez comprendre.

Au mois de juin donc, une petit grippe a pointé le bout de son nez. Après 10 jours de forte fièvre, je me suis décidée à consulter. Apparemment rien de très grave, il me fallait juste de la patience (dixit monsieur le docteur). De la patience j'en avais, mais lorsque mes yeux sont devenus jaune et que j'ai eu l'impression qu'une barre de métal traversait mon ventre, il a bien fallut se dire que ce n'était pas la grippe. Retour chez le médecin, puis aux urgences et pour finir, une petite hospitalisation. Les deux premiers jours il y a eu beaucoup d'examens, personne ne savait ce qui se passait. Et puis, le verdict est tombé : la mononucléose avec complications ! A mon âge ? Est-ce bien sérieux ?

Le problème, quand le foie est atteint, c'est qu'on a envie de rien. Je ne me suis pas inquiétée au début. Mais, 4 mois plus tard, je n'ai toujours envie de rien. Je continue à manger, mais sans plaisir. Je cuisine des choses qui me font envie et puis lorsque je les manges rien. La plus part des autres symptômes ont disparus, mais pas celui-ci. Il me reste encore quelque coup de fatigue qui me terrassent, mais ils ont gérable. Alors que le plaisir de la nourriture lui, semble avoir disparu.

L'hiver est ma période culinaire préférée. J'aime l'odeur des épices, de l'orange, du thé chaud, des biscuits, des plats qui mijotes dans la cocotte. J'aime les fondants au chocolat, la fondue après une journée à la neige, le papet vaudois qui fait sourire mon cholestérol et toutes ces bonnes choses qui vous font du bien et qu'on a pas envie de manger lorsqu'il fait chaud.

La semaine passée j'ai fais des biscuits, ceux que je préfère, et c'est les enfants qui ont tout mangé. Je me suis donc dit qu'il me fallait de la nouveauté, j'ai donc tenté un cake à la farine de châtaigne. A l'odeur il était plaisant, et au goût, décevant...

J'avoue que ça me déprime, et je ne peux même pas me faire un gâteau doudou pour me consoler...

lundi, octobre 22, 2012

Le temps d'un week-end... (1)

Je vais pour une fois me passer de tout commentaire et vous laisser regarder les modestes photos prises ce week-end lors de notre visite au château de Lichtenstein. Je regrette vraiment de ne pas être une bonne photographe. J'aurai pu ainsi, vous faire partager, toute la beauté du lieu avec les couleurs de l'automne, un soleil radieux et un endroit vraiment féérique. Je comprends que ce lieu ait inspiré quelques écrivains... (cliquez sur les photos pour les agrandir)










jeudi, octobre 04, 2012

La cuisine aux souvenirs...






En préparant ma soupe à la courge ce matin, je pensais à Miss A. qui n'aime pas ça. Je me disais qu'en rajoutant un peu plus de persil, en changeant mes épices peut-être que cette fois elle me dirait "miam ! J'en veux encore".

Et puis je me suis souvenue comme en rentrant de l'école, avec mon bout du nez gelé et une faim d'ogre, j'aimais sentir la chaleur et l'odeur de la soupe en passant le pas de la porte. Je me souviens du plaisir que nous éprouvions ma maman et moi a déguster cette soupe crémeuse pendant que les autres faisaient la tête. Je me suis alors rendue compte, que je cuisine aux souvenirs.

Je peux lier chaque plat que j'aime faire à des gens que j'aime. J'aime le soir me faire des petis oeufs à la coque avec des petites mouillettes au beurre salé et si je l'aime, c'est parce qu'encore une fois ce plat est lié à un souvenir. Celui de ma marraine chez qui je m'enfuyais quand j'en avais marre de mes frères et qui me proposait toujours, pour me réconforter, des petites mouillettes. Je me souviens aussi de sa vinaigrette qui m'arrachait les papilles mais que j'adorais.

Ou encore je me souviens des boules de riz, du risotto, du flan aux oeufs, des endives aux jambon, des lasagnes et bien d'autres encore. Cette simple soupe d'aujourd'hui ma fait comprendre pourquoi, chaque fois que j'entends un "c'est bon", mon coeur se gonfle et pourquoi, j'aime la cuisine.

samedi, septembre 15, 2012

12 ans...





Je ne me souviens plus du son de sa voix, ni de la forme exact de sa coupe de cheveux.

Je ne me souviens plus de comment c'était avant la maladie, bien avant, quand elle était encore jeune et les photos, elles sont bien enfermées dans un carton.

Je ne me souviens plus de son rire.


Mais je me souviens de ses mains à qui je volais des bagues, de ses mains de travailleuse jamais tranquilles, qui tenaient soit un café, soit une Marylong.

Je me souviens de ses yeux, pas trop grand, bleu et qui même lorsqu'elle était fâchée nous disaient qu'elle nous aimait et que si elle criait, c'était parce qu'elle se faisait du soucis.

Je me souviens de  ses  chansons, chantée très fort, perchée tout là-haut sur le balcon qui me mettait la honte chaque fois que je rentrais accompagnée.

Je me souviens des confidences, de ses moments ou elle était là rien que pour moi, assise toujours au même endroit autour de la table de la cuisine comme si nous étions seules au monde.


Je me souviens de l'essentiel, son amour.

mercredi, août 29, 2012

Paranorman ou L'étrange pouvoir de Norman (qu'est-ce que c'est moche en français)

Image piquée ici


L'histoire de Norman se résume en 4 mots, "il parle au mort". Pour le reste, je ne vous dévoilerais rien à part mon sentiment.



Mon sentiment donc et d'avoir vu un très joli film d'animation, mais pas que...

Au départ, j'ai été très surprise par l'esthétique. Certains traits des personnages sont particulièrement forcé et j'avoue, que parfois, ça m'a fait mal aux yeux. Et puis, je me suis habituée et plus le film avancait, plus j'admirais la technique et me disait déjà, qu'il me faudrait le DVD avec le Making Off pour pouvoir comprendre comment Norman a été créé.

Paranorman est enfin un film d'animation qui ne se prends pas pour une "comédie américaine pour ado" en nous bombardant de gags lourdauds à un rythme effréné. L'humour de Norman est fin, léger il nous fait sourire et parfois rire et assurément il fait mouche. Les dialogues sont excellents, comme l'humour, je regrette cependant, quelques monologues, parfois longuets et dégoulinant de morale.

Pour moi, Paranorman a deux défauts. Comme je le citais plus haut,  les monologues et ensuite, le fait qu'à la fin il s'essouffle. Alors que je m'attendais à être surprise, parce que je l'avais été tout au long, j'ai été un peu déçue de le voir se terminer aussi "simplement".

Malgré tout, ces deux derniers points n'ont pas gâché mon plaisir. J'ai beaucoup aimé et je vous recommande vivement de vous enfermer dans le noir avec Norman (et de venir me dire ensuite ce que vous en avez pensé...).




Petite note pour les parents : Il y avait de jeunes enfants dans la salle que j'ai entendu frémir. Je pense que 12 ans est l'âge conseillé pour Paranorman.

mardi, juillet 24, 2012

Géocache du dimanche...

...que nous n'avons pas trouvée (parce que j'avais mal lu les indices mais chuuuuuuuuuut)



Photo prise sur le sentier des renardeaux


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...que nous n'avons pas trouvée (parce que j'avais mal lu les indices mais chuuuuuuuuuut)

Mais nous sommes revenus les poches pleines de fraises des bois et les mollets bien musclés...

vendredi, juillet 20, 2012

Swap beauté...

Armalite est une source inépuisable d'idées de dépenses, lectures, activités et partage. Après les cartes postales, je me suis donc engagée pour un swap beauté. Ce swap été un peu différent des autres, plus personnel, puis que j'ai pu découvrir au travers de long mail (nous sommes toutes les deux bavardes semblerait-il) Mmarie avant de lui confectionner un paquet.

Je n'ai pas pu lui envoyer mon paquet dans les temps puis ce que je me trouvais à l'hôpital et que j'ai eu un peu de peine à tout faire ensuite. Mais Mmarie c'est montrée compréhensive et c'est seulement la semaine passée que l'envoi a eu lieu. Mon paquet devait arriver avant son départ en vacances, malheureusement, la poste nous a encore joué des tours et il est dans l'attente.

Mais revenons à mon paquet et à Mmarie, qui doit avoir un fort potentiel pour le jeu du Tetris. Parce que dans ce paquet...


se trouve la caverne d'Alibaba...


Les trois produits choisis : Une BB crème Erborian que je ne trouve pas en Suisse et que je mourais d'envie d'essayer, une crème pour les mains à l'odeur légère et qui ne colle pas et une sublime palette Sleek. J'avoue j'ai fais de hiiiiiiiiiiiiiii et des haaaaaaaaaaaa toutes les 2 secondes et ça a duré 1 heure.
Pour la surprise, des gourmandises. Du chocolat en poudre que je me réserve pour le week-end pluvieux qui s'annonce, des cuillères doseuses qui ont déjà rejoint ma cuisine et des petits moules en papier à pois.

Et une tonne d'échantillons. Je crois que j'ai dis trop fort que j'adorais tout tester !

Mais Mmarie ne c'est pas arrêtée là, elle m'a gâtée encore avec un fard Lancôme prune absolument sublime, un vernis pour mes petits petons et elle a eu la gentillesse de me mettre de l'huile démaquillante Shu Uemura dans un petit flacon pour que je puisse l'essayer.

Et elle a même pensé à Mr E. et Miss Pops (qui a lu le livre pendant que je faisais les photos et qui a adoré ;) )

Que dire à part un énorme merci. Merci pour le gentil mot, merci pour toutes ces attentions bien ciblées et qui m'ont fait un plaisir énorme. Ce paquet c'est le petit paradis dont j'avais besoin pour oublier un peu mes soucis.

Du coup, j'espère que Mmarie ne sera pas déçue de ce qu'elle va trouver dans son paquet, je stresse...

mardi, juin 05, 2012

L'alimentation version Disney.

Photo trouvée : ici

Monsieur tout le monde m'a donné envie d'écrire, enfin !

En ce moment le thème "bouffe" me tient à coeur. C'est le début de l'été, toutes les filles se plaignent de leurs rondeurs (un petit clin d'oeil aux filles que je côtoies au quotidien et qui ne se rendent pas compte à quel point elles sont jolies !), les magazines nous en mettent pleins la vue, on nous répète 50 fois par jour de manger des légumes et comme si ça ne suffisait pas, Disney a décidé maintenant de s'amuser avec nos chères têtes blondes !

Je vous laisse découvrir l'article qui m'a fait rebondir : "Pour lutter contre l'obésité, Disney se met à la diète"

Mais foutez nous la paix avec la bouffe ! Il y a une croissance importante d'enfants et de jeunes adultes qui ont des troubles alimentaires. Nos enfants sont mal dans leur peau c'est une évidence. Mais ce n'est pas des pubs qui vont nous sauver. A 9 ans, Miss A. me parle déjà de ses cuisses alors qu'à son âge, ma seule préoccupation était de jouer avec mes copines. Pourquoi ?

Je vois derrière ce genre d'action de grosses industries qui s'en mettent pleins les poches. C'est Nestlé qui va être content qu'on accorde une place plus importante à ses céréales ! Et qu'est-ce qu'il y a dans les céréales ? De la bonne graisse végétale (de palme ?), des émulsifiants et souvent, du sucre. Parce que les enfants, les bêtes pétales de maïs ça ne leur plaît pas, donc il faut des miels pops & compagnie. En quoi est-ce mieux qu'une tartine ? Qu'un fruit ? Ah, mais les grosses multi-nationale, ça ne vends pas de simple fruit.

J'en veux certes à Disney (et TF1 et toutes les chaînes télé), mais j'en veux aussi aux parents. Parce que les enfants qui, devant la télé engloutissent une tonne de trucs plus immondes les uns que les autres ont bien étés achetés par quelqu'un. Si un enfant rentre de l'école et qu'il trouve des fruits, il va manger des fruits. Maintenant si l'armoire à biscuits, bonbons et chocolat est bien remplie, il va oublier les fruits. Le goût, ça s'éduque, et pour bien éduquer, il faut un large panel de produits différents, il faut de la curiosité et il faut s'amuser.

Quand Disney arrive avec ses gros sabots en disant "manges bien sinon tu vas devenir gros", il apprends déjà à l'enfant à culpabiliser. Sérieusement, mesdames, vous connaissez toutes ce sentiment lorsqu'on craque et qu'ensuite on culpabilise. Est-ce un comportement sain ? Est-ce juste d'éduquer ses enfants ainsi ?

A mon avis non... la façon de faire est de dire aux enfants : "vient on va jouer dehors, s'amuser, manger des gâteaux et des fruits, on va éprouver du plaisir et la télé on va lui tourner le dos !

Parce que manger doit rester un plaisir, pas devenir une torture.

lundi, avril 23, 2012

Et puis... rentrer à 2h00 du matin...

Samedi soir, je suis allée manger avec Miss L. et Miss S.. Nous avons toutes les trois un point commun, nous sommes maman.

Samedi soir donc, entre autre sujet de discussion, nous avons passé un peu de temps à nous dire que nous n'étions pas que des "mamans/épouses de" et que ça faisait du bien de prendre un peu de temps pour faire ce qu'on a envie. Virer tout le monde de la maison pour pouvoir savourer le silence, prendre un billet d'avion pour s'échapper un week-end seule ou partir se promener en forêt. Je leur ai dis à quel point c'était important pour moi. Pas parce que je ne supportes plus ma famille, mais parce que c'est elle qui ne me supporterait plus, si je n'avais pas ces petits moments de break. Ça me détends de me retrouver seule, je me ressource et ça me permet ensuite d'être beaucoup plus détendue avec les soucis du quotidien. Je passe mon temps accompagnée, soit de Mr Pops, soit d'un ou deux de mes enfants, je calcule mes occupations en fonction de mes enfants et je suis toujours entrain de regarder ma montre. Parfois, j'ai envie de me lever le matin de traîner en pyjama, de ne plus regarder ma montre, d'oublier qu'à midi il faut faire à manger, de me grignoter un bout de pain avec une barre de chocolat en guise de dîner et de n'avoir personne pour me dire "j'ai faim", "j'ai soif", "j'ai plus de chaussettes"....

Et puis une fois que j'ai raconter tout ça, avec pleins de convictions, je rentre et je tombe là-dessus posé à mon intention derrière mon verre à dent....

Avec au dos l'inscription "maman je t'aime"

Et je me dis que je ne voudrais pas que ce soit autrement...

mardi, avril 03, 2012

Jolies rencontres matinale...


J'aime bien aller marcher avec Miss S., on entends la nature et puis parfois on a des surprises...







Cliquez pour voir en grand

Cliquez pour voir en grand

Ce héron nous a beaucoup fait rire, il avait l'air ivre et bancal, je n'ai malheureusement pas pu m'approcher plus...



jeudi, mars 15, 2012

Mon petit TOC à moi...


Pendant de longues années j'ai vécu sans soucis en ne me posant aucunes questions et en étant sûre de moi.

Bien sûr que j'ai fermé la porte, assurément j'ai mon porte-monnaie dans mon sac, aucun doute j'ai éteins les plaques. Donc lorsque Mr Pops me posait des questions du genre, sans réfléchir je lui disais Oui et je me moquais un peu de son inquiétude permanente.

Et puis, un jour, sans prévenir alors que j'avais passé toute l'après-midi à l'extérieur et que je rentrais paisiblement, j'ai ressenti comme un gros poids s'installer sur ma poitrine et boum, comme ça, sans prévenir, je me suis dis : "je me suis fais un thé et j'ai oublié la casserole sur le feu !". Une panique totale c'est emparée de moi, je me suis mise à imaginer la maison en feu, tout nos souvenirs envoler et j'ai ressenti, ce que je ressentais lorsque j'étais toute petite et que j'avais fais une grosse bêtise. Ce sentiment de peur, d'angoisse et de panique. Pendant tout le trajet du retour, j'ai repensé à chacun de mes gestes. Quand est-ce que j'ai eu envie de boire un thé ? Est-ce que je l'ai bu ? Est-ce qu'en partant j'ai vu la cuisinière ? Et toutes ces questions qui, si j'avais été calme, auraient vite trouvé une réponse, me paniquaient plus qu'elles ne me rassuraient, puisque la seule réponse était : "je ne sais pas".

Depuis ce jour là, il m'est arrivé à plusieurs reprise d'arrêter mon activité à l'extérieur pour rentrer et vérifier que j'avais éteins les plaques. Lorsque je pars désormais, je rentre dans la cuisine je regarde tous les boutons et je dis à voix haute "souviens-toi que tu as éteins les plaques, tu as vérifié".

Je ne peux pas et surtout je ne sais pas comment lutter contre cette angoisse qui s'installe et qui me mets dans un état particulièrement désagréable à vivre.

Alors maintenant, ceux qui me connaissent se moquent de moi en me disant "alors ? tu as éteins la plaque ?" et bien quand je peux vérifier, ça me fait rire, mais lorsque je ne peux pas, je sens monter la panique et il faut que je me concentre très fort pour me souvenir que j'ai contrôlé... et si je n'ai pas le souvenir d'avoir contrôlé... et bien je rentre chez moi.

lundi, mars 12, 2012

Le nouveau réveil matin Joséphine

Ce matin à 7h00 comme d'habitude mon réveil a sonné, mais lorsque j'ai voulu l'éteindre, il n'était plus à sa place. Etrange.

Je me suis donc mise à sa recherche. Il n'était pas parterre, ni sous les livres et ça commençait à bien m'énerver. A faire un boucan pareil, j'allais réveiller les enfants. Et puis je me suis mise à tendre l'oreille et j'ai découvert que c'était Joséphine qui sonnait.

Je l'ai ouvert, j'ai tenté d'appuyer sur la couverture, mais rien n'y faisait. J'ai donc déchiré le livre pour découvrir à l'intérieur un petit dispositif de sonnerie, qui, malgré tous mes efforts continuait à sonner. J'ai fini par l'écraser avec mes pieds, lui donner des coups, mais rien, jusqu'à ce que...

j'ouvre les yeux et découvre que j'avais mis 4 bonnes minutes à réaliser que je rêvais.

samedi, mars 10, 2012

Je n'ai pas des petits pieds, j'ai des pieds de princesse !







Maaamaaaaaaan ! Regardes, c'est trop cool que tes pieds ils sont petits,dans 1cm je peux mettre tes chaussures !

jeudi, mars 08, 2012

Swap postal : Ronde 3

Petite vue d'ensemble


 Voilà donc les cartes reçues dans le cadre du swap postal "carte insolite" organisé par la charmante et pétillante Armalite.


Envoyée par Laurie. J'ai adoré le thème bien sûr ! Et en plus elle a été envoyée de jour de ma fête.
Envoyée par Bérénice. Une carte Plonk & Replonk, insolite assurément.

Envoyée par Isabelle. J'aime beaucoup l'allusion au cinéma. Encore une carte dont j'adore le thème.

Envoyée par Hélène. Une carte qui m'a rappelé quelques souvenirs.

Envoyée par Florésie. J'adore cette photo en noir et blanc et la posture des demoiselles.

Envoyée par Eléonore. Cette carte est un OVNI, je l'ai adorée !

Envoyée par Mareike. Comme Mareike l'a écrit sur cette carte ce monsieur à l'air de vouloir nous dire un poème.

Envoyée par Isabelle N.. Une carte Plonk & Replonk, avec un petit mot rempli d'humour.


Je voulais toutes vous remercier, pour vos recherches et vos envois. J'ai beaucoup aimé recevoir cette surprise quotidienne, ça va me manquer. Merci aussi, pour l'originalité de vos petits mots.

mardi, mars 06, 2012

Allo ? Non, A lire...



Il y a des choses que j'aimerai bien pouvoir ramener dans un sac à malice et déposer dans mon univers. Je trouve cette cabine à livre magique. On y entre pour y déposer ou pour y prendre un livre tout simplement.

Une question de poids : le plan d'action 1 Le sport.

Tout d'abord, il était hors de question que je me mette au régime. Pas parce que je n'ai pas une once de volonté lorsqu'il s'agit de nourriture, mais plutôt parce qu'il m'est impensable de devoir contrôler mon alimentation pour toute ma vie future.

Et puis je dois confesser avoir tenté la chrononutrition et qu'après avoir fait monté mon cholestérol en flèche et bien troublé ma tension, je n'avais pas envie de retomber sur une méthode qui altérerait ma santé.

Donc, je me suis tournée vers le sport. Ah le sport la belle affaire ! Quand on a 2 enfants et une vie bien remplie c'est tout à fait facile de trouver un moment pour faire du sport. Certains vous diront que qui ne veut pas ne peut pas. Je pourrais après tout me lever à 5h00 du matin pour aller courir, courir avec une lampe frontale le soir ou que sais-je. Enfin, un peu de volonté que diable ! Et bien en cherchant bien, j'ai du temps le dimanche, mais pas tous les dimanches et moi je veux un truc régulier. Du coup, à force de tourner en rond et de ne rien faire, je me suis mise à danser par tranche de 15 minutes. Quand Mr E. est calme et qu'il joue dans sa chambre, je fais du Zumba dans ma chambre, juste 15 minutes, avant d'aller me doucher. Le dimanche quand je suis seule, je mets mes écouteurs et je danse n'importe comment, je me secoue dans tous les sens et sors toutes les choses casse-pied de la semaine. Non seulement ça me fait brûler des calories, mais en plus ça me fait du bien psychologiquement.

Et puis, le mardi, Madame S. et moi nous retrouvons pour parler chiffon en marchant. Au lieu de parler pendant 1 heure au téléphone, nous nous retrouvons dans la nature et marchons.

Voilà, comment j'ai résolu le problème de l'exercice. Mais ça ne fait pas tout. Je ne peux pas me contenter de marcher et danser, il me faut aussi faire attention à ce que je mange... mais ça c'est une autre histoire que je vous conterais dans une semaine.

Pour l'heure voici mon bilan des deux dernières semaines. Je n'ai perdu que 500g, ma balance affichait hier matin 62,7. Damned ! Mais je peux expliquer cette non-perte de poids. Pour plusieurs raisons je n'ai pas pu aller marcher pendant ces deux semaines et le week-end passé je me trouvais en Allemagne ou pendant 2 jours j'ai mangé des menus complet à midi et le soir... Qu'est-ce que c'était bon...

On se retrouve dans 2 semaines et je vous parle de ma façon de manger en partageant avec vous mon journal alimentaire ?

mardi, février 21, 2012

Une question de poids...

Photo trouvée : ici
Il y a fort fort longtemps, je pesais 52 kilos pour 1m55, je mangeais n'importe quoi, n'importe quand et je me trouvais ronde.

Il y a fort longtemps, je pesais 57 kilos, après avoir pris 27 kilos en neuf mois, je mangeais maintenant à heure fixe et je me trouvais énorme, regrettant mes 52 kilos.

Il y a quelques temps, je pesais 65 kilos et j'ai commencé à ne plus baisser la tête pour éviter de croiser ses cuisses trop rondelette et se ventre boudinant.

Je me suis donc prise en main. Pas question pour moi de faire régime. M'imaginer toute une vie en faisant attention à ce que je mange alors que j'aime le sucré, le salé et le gras m'était inimaginable. J'ai donc choisi avant de faire mille régimes d'aller voir une diététicienne.

Au premier entretien je pesais 66,4 kilos sur sa balance, 6 mois plus tard, je pesais 66,4 kilos sur sa balance.

En 6 mois, j'ai changé mes habitudes alimentaire. Heureusement elles n'étaient pas si horrible que ça, je n'ai donc pas fais de changement radical. J'ai noté pendant tout ce temps ce que je mangeais, je me suis focalisée sur ma nourriture à tel point que j'en ai oublié d'aimer ce que je mangeais. Et que j'ai arrêté de découvrir et de cuisiner de la nouveauté. Ma cuisine est devenue triste, tout comme mon humeur. Chaque morceau de sucre était calculé. J'ai traqué le sucre pendant 6 mois. Ma diététicienne convaincue que j'avais une alimentation saine était persuadée que c'était mes petits craquages du soir qui posaient problème. Donc fini mon petit dessert au calme le soir quand les enfants sont couchés. J'ai pris sur moi, et je buvais mon thé tout seul, sans accompagnement. Et après chaque consultations, il fallait enlever une truc en plus, mon yaourt à la vanille quotidien c'est transformé en yaourt nature 0%, ma confiture a disparu de ma tartine et tout ça pour quoi ? 66,4 kilos.

J'en avais tellement marre de ses rendez-vous quotidien qui me faisait monter sur la balance pour m'annoncer un poids supérieur ou égal à ses 66,4 kilos, qu'un jour, pour avoir la paix, j'ai "filouté" ma diététicienne. Cette dernière me pesait toujours habillée, je mettais donc presque toujours les mêmes vêtements pour aller chez elle. J'avais ainsi l'impression d'être au plus juste avec cette pesée. Ce matin là, au lieu, de mon jeans habituel, je suis partie en petite robe d'été. Heureuse elle était ma diététicienne et moi ? Moi je savais que c'était le poids de mon jeans que j'avais perdu alors quand elle m'a dit "en vous voyant ce matin, j'ai tout de suite vu que vous aviez perdu du poids" j'ai eu envie de pleurer et à la séance d'après, je lui ai dis que j'avais tout bien compris comment il fallait faire et que je n'avais plus besoin d'elle.

Alors, l'hiver passé, je me suis emmitouflée dans mes gros pull, j'ai cuisiné de la nourriture doudou et je me suis fait plaisir. Remettre les mains dans mes casseroles, refaire des expériences, m'enfermer dans ma cuisine, le bonheur... Et mon poids ? Malgré tous mes "craquages" gourmand, il n'a pas bougé. Enfin... il n'a pas bougé jusqu'à Noël ou là, j'ai dépassé la barre des 67kg.

Ce jour là, j'ai dis stop et j'ai commencé à échafauder un plan d'action. Plan d'action que j'ai démarrer le 15 janvier. Je pesais alors 66,2 et aujourd'hui, 63,1.

J'ai mis du temps à écrire cet article parce que ces 3 kilos sont finalement une toute petite victoire et que, en l'écrivant, j'avais peur que ça ne fonctionne plus, peur d'être jugée.

Et puis finalement, je me suis dis que non, j'allais me motiver en faisant un compte-rendu toutes les deux semaines. Je vous rassure, mon but n'est pas de retrouver mes 52 kilos, mais si sur ma balance je pouvais à nouveau côtoyer le chiffre 5, je me considérerais heureuse.

J'ai envie de m'aimer ! Et même si j'ai conscience que le poids inscrit sur ma balance ne va pas tout faire et qu'il va falloir que je me réconcilie avec moi même. Ce serait un bon début.

Alors à dans deux semaines... je vous parlerais de mon plan d'action plus en détail.

vendredi, février 17, 2012

Végétarienne à domicile...


Depuis que Miss A. est en âge de marcher, elle s'intéresse à toutes les petites bêtes. Nos balades duraient 1heure et pourtant nous ne faisions que 50 mètres parce qu'elle s'arrêtait sur chaque petits insectes. Plus tard, sa maîtresse retrouvait des vers-de-terre sous sa table, parce qu'elle les sauvaient du soleil en été. Et maintenant, du haut de ses 9 ans, elle est incollable sur les insectes et souvent bluffante sur ses connaissances du monde animal. Elle passe beaucoup de temps à lire des histoires à ses lapins, Moka et Arthur) à faire ses devoirs couché devant leur cage et à leur raconter ses secrets (que du coup j'entends aussi éh éh)

C'est donc tout naturellement et sans grande surprise que lorsqu'elle a émit le souhait de ne pas trop (voir pas du tout) manger de viande, sous prétexte que, je la cite, "c'est un animal mort", je ne lui ai pas dit non. Malgré tout, elle est en pleine croissance et de temps en temps, j'exige d'elle un tout petit bout de viande, qu'elle mange d'un air dégoûté. Je lui ai bien expliqué que pour elle c'était la seule façon de fabriquer un vitamine qui était importante pour elle, et elle comprends, mais c'est dûr !

Et puis dimanche chez ses grand-parents j'ai assisté à cette scène surprenante :

Miss A. : "nonna, nonna, tu me redonnes de la viande ?"
Moi : "hein ? Tu es sûre ?"
Miss A. : "ouai !"
Moi : "Mais ? Tu as changé d'avis sur la viande ?"
Miss A. : "Non... mais là il n'y a pas Moka et Arthur qui me regardent alors je peux manger de la viande. Sinon ça les rends triste."

Il va falloir que je discute un peu avec Moka et Arthur... si ils pouvaient lui expliquer que ranger sa chambre est aussi utile à leur survie, ça m'arrangerait bien.

mardi, février 14, 2012

5 raisons suffisantes pour lesquels je n'aurais plus jamais de voiture rose...

Photo prise par  Monsieur tout le monde...

1. Je me fais souvent doubler sans raisons, même si je roule toujours un tout petit peu en dessus de la limite.

- Pas plus tard qu'hier, un monsieur avec un gros 4x4, m'a dépassé à 100km sur une petite route de campagne pour se rabattre à 2 cm de mon capot. Je roulais pourtant à 80km et je promets que je ne l'ai pas cherché.

2. On me manque plus facilement de respect.

- Je me suis fait rentrer dedans à un feu rouge. Le monsieur est sortit, il m'a dit "pourquoi vous avez freiné ?", puis il a regardé le pare-choc et en balayant l'air de la main a dit "bon y a rien..." est remonté dans sa voiture et a filé.

3. On me klaxonne.

- A la sortie d'un rond point, je suis prioritaire et madame avec son gros 4x4 (encore) me klaxonne parce qu'apparemment la priorité ça se joue à la taille de la voiture. J'avoue j'ai sorti mon bras et je lui ai fais un doigt d'honneur.

4. On me coupe la route.

- Systématiquement, lorsque j'arrive à un carrefour on se dit que pfffiou la petite voiture rose elle va pas bien vite, alors elle peut freiner.

5. Soit on me sourit, soit on secoue la tête en me regardant comme si j'avais le QI de Barbie.

- C'est bien connu, quand on a une voiture rose on a forcément les cheveux blond, des ongles en plastique, la forte poitrine, la minijupe et le cerveau d'un poisson rouge.

Avant de conduire ma 500, je conduisais une bête  Fiat Punto simplement grise et je n'ai jamais eu à faire avec de tels comportements. Il m'est arrivé, comme tout le monde, de faire quelques bêtises au volant, heureusement sans conséquences, mais ce n'est pas pour autant que je suis une mauvaise conductrice. Je suis en général aimable au volant et plutôt calme avec une petite tendance à rouler vite sur l'autoroute.

Ma pauvre voiture d'1 an a déjà été une fois chez le carrossier parce que sur un parking on m'a rayé le rétroviseur et l'aile. J'ai failli deux fois mourir avec mes enfants à cause de personnages complètement fous qui ont préférés dépasser la fille en voiture rose au lieu d'attendre (ou de se rassurer intérieurement sur la taille de leur pénis). Et elle va maintenant retourner à la carrosserie, parce qu'un macho avec sa grosse voiture a préféré passer comme un homme au lieu de perdre sa dignité de mâle en appuyant sur la pédale de frein.

Non... je n'aurai plus de voiture rose.... à grand regret...

samedi, février 11, 2012

Le bon fromage de chèvre...



Mr Pops aime vraiment beaucoup le fromage de chèvre, je n'ai donc pas pu résister à lui ramener ce tout petit fromage "miniclac". Au goût je ne sais pas si c'était une "miniclac" mais à l'odeur, sans aucun doute !